|  | Fontenay   
               
                | Edifice | Ancienne 
                    abbaye cistercienne Notre-Dame |   
                | Situation | Vallée 
                  forestière, commune 
                  de Marmagne, 21500 (Côte-d'Or) |   
                | Parties 
                    Romanes | Eglise 
                    abbatiale, cloître, salle capitulaire, scriptorium, 
                    chauffoir, dortoir et forge |   
                | Décoration | Chapiteaux 
                  à feuilles d'eau, sculptures du Musée lapidaire |   
                | Datation | 1139-1147 
                    (église) et milieu du 12e jusqu'au 18e siècle 
                    (bâtiments abbatiaux) |      Introduction 
              - Historique - Description 
              - Visite    Introduction 
 L'abbaye de 
              Fontenay est probablement la plus belle abbaye cistercienne entièrement 
              conservée en France et c'est l'une des merveilles de la Bourgogne. 
              L'ensemble, dont la fondation par l'abbaye-mère de Cîteaux 
              remonte à 1118, est remarquable par son harmonie, sa simplicité 
              et son dépouillement, caractéristiques de l'art cistercien. 
              Contrairement à la plupart de ses sœurs, Fontenay conserve 
              dans son vallon sauvage au cœur de la forêt formant un 
              cadre naturel plein de charme, la plupart de ses bâtiments 
              abbatiaux groupés autour d'un magnifique cloître. On 
              peut y visiter la Salle capitulaire, le Scriptorium, le Dortoir 
              des Moines et le bâtiment admirable de la Forge. L'église 
              abbatiale est elle aussi un chef-d'œuvre de l'art cistercien, 
              illustrant parfaitement son caractère austère. Sa 
              nef sous berceau brisé et son chœur à chevet 
              plat sont les éléments propres aux églises 
              cisterciennes. Une visite à l'abbaye de Fontenay s'impose 
              aux visiteurs comme un voyage inoubliable au temps des moines blancs. 
              Les milliers de visiteurs qui, chaque année, y font halte, 
              sont saisis par l'authenticité et la spiritualité 
              qui se dégagent du monastère.        Historique
 L’histoire 
              de l’ordre cistercien commence en 1098 avec la fondation de 
              l’abbaye de Cîteaux 
              (dans la région de Beaune, Côte-d’Or). 
              Saint-Bernard y arrive vers 1113. Il s’oppose à la 
              richesse de l’ordre clunisien et veut revenir à l’essentiel 
              de la règle bénédictine: Ora et Labora, 
              le travail et la prière.  Avec 
              ce grand homme l’ordre se développe rapidement. Bernard 
              devient abbé de l’abbaye de Clairvaux (Aube). 
              L’abbaye de Fontenay, qui fut fondée en 1118 par les 
              disciples de Saint-Bernard, était la deuxième fille 
              de Clairvaux. L’abbaye trouve son emplacement définitif 
              en 1130, plus bas dans la vallée boisée, dit vallon 
              des Egrevies. Une première église, un cloître 
              et un dortoir furent construits vers 1132. L’abbaye se développe 
              pendant les années suivantes et c’est en 1139 que fut 
              commencée la construction de l’abbatiale actuelle, 
              qui fut consacrée en 1147 par le Pape Eugène III. 
              Le monastère est complété à la fin du 
              12e siècle et porte le titre d’Abbaye Royale depuis 
              1269. Fontenay va prospérer pendant les 12e et 13e siècles 
              : au plus haut de sa renommée, trois cents personnes logeaient 
              dans ses bâtiments. Les siècles qui suivent sont difficiles pour l’abbaye, 
              qui fut pillée au milieu du 14e siècle par les Anglais, 
              ensuite au milieu du 15e siècle, et puis saccagée 
              vers 1557 pendant les Guerres de Religion. Bien que des restaurations 
              aient été effectuées au 14e siècle, 
              le déclin de l’abbaye commence au 16e siècle 
              avec l'établissement du régime de la Commende en 1547. 
              En 1745, le porche de l'abbatiale, les cuisines et le réfectoire 
              des moines sont démolis.
 Après la Révolution française l’abbaye 
              est sécularisée, vendue comme bien national en 1791 
              et transformée en papeterie par Claude Hugot. Les frères 
              Montgolfier achètent l’abbaye vers 1820 et commencent 
              la construction de plusieurs bâtiments industriels. Après 
              le classement Monument Historique de 1862, l’abbaye doit attendre 
              jusqu’à 1906 pour être restaurée. C’est 
              Edouard Aynard qui achète l’abbaye et lui redonne son 
              aspect médiéval en détruisant les bâtiments 
              modernes de la papeterie. Les travaux durèrent jusqu’en 
              1911. L'abbaye demeure de nos jours la propriété de 
              la famille Aynard. Après 
              les restaurations des années 1960 et 1990, on peut admirer 
              l’abbaye dans toute sa gloire et en 1981, l’ensemble 
              fut classé patrimoine mondial par l’UNESCO.
 
     Description
 Les bâtiments 
              de l’abbaye sont construits autour du cloître roman, 
              le carré central de l’abbaye. Bien que beaucoup des 
              bâtiments abbatiaux aient été remaniés 
              ou même détruits au cours des siècles, l’abbaye 
              a gardé son aspect initial. Le plan ci-dessous 
              montre la situation des différents bâtiments. Ce plan 
              est souvent considéré comme le modèle du plan 
              cistercien. On 
               commencera 
              par la description de l’église abbatiale et le cloître 
              et puis on poursuivra avec les autres bâtiments monastiques.     Eglise 
              abbatiale L’église 
               fut construite de 1139 à 1147 et est caractéristique 
              des premières églises cisterciennes dont elle est 
              l'une des seules qui soit conservée. On trouve un dépouillement 
              extrême : c’est une architecture toute de sobriété, 
              d'austérité et d'homogénéité 
              parfaite, sans aucune décoration qui pourrait distraire les 
              moines. Le plan au sol de l’édifice 
              ne montre que des formes rectangulaires. La nef de huit travées, 
              flanquée de bas-côtés se poursuit par un transept 
              saillant sur lequel s’ouvrent de chaque côté 
              deux chapelles rectangulaires, et un chœur à chevet 
              plat. La façade de l’église 
              montre un portail à colonnettes et chapiteaux 
              sous deux étages de quatre et trois baies en plein cintre 
              dont la plus grande est flanquée de petites colonnettes. 
              Jusqu’en 1745, elle était précédée 
              d’un porche dont on voit encore les corbeaux.      
               
                |  
                    Extérieur 
                      de l'église abbatiale : |   
                |  |  |  |  |   
                | Façade 
                    ouest | Baies | Portail | Nef |    La grande 
              nef est magnifique et obscure: elle se compose d’un 
              seul étage. De grandes arcades en profil brisé la 
              font communiquer avec les bas-côtés. Elle est voûtée 
              en berceau brisé sur doubleaux qui reposent sur des piliers 
              carrés par l’intermédiaire de colonnes engagées 
              et de pilastres à chapiteaux. Ces chapiteaux sont souvent 
              nus, ou sculptés de motifs végétaux et géométriques 
              extrêmement simples. Les bas-côtés 
              sont presque des chapelles latérales avec leurs berceaux 
              brisés transversaux. Les baies des bas-côtés 
              et celles de la façade et du chœur sont les seules à 
              éclairer ce sanctuaire austère. Le transept 
              possède deux croisillons sous berceaux brisés qui 
              s’ouvrent sur les chapelles orientales à fond plat 
              et voûtées en berceau brisé (restaurées 
              en 1995). Le bras sud fait communiquer l’abbatiale avec le 
              dortoir des moines par un escalier. Le pignon du transept nord est 
              percé d'un triplet de baies. Le chœur 
              s’ouvre sous un arc avec cinq baies en plein cintre et est 
              voûté, lui aussi, en berceau brisé sur ses deux 
              travées. Le chevet plat inonde le sanctuaire de lumière 
              par ses deux rangs de trois baies.    
               
                |  
                    Intérieur 
                      de l'église abbatiale : |   
                |  |  |  |  |   
                | Nef | Ensemble | Bas-côté | Bas-côté |   
                |  |  |  |  |   
                | Elévation | Transept | Transept | Chapelles |   
                |  |  |  |  |   
                | Chœur | Abside | Chapiteau | Chapiteau |    Dans 
              les parties orientales de cette église on trouve les seules 
              décorations, toutes postérieures à la construction 
              de l'édifice. La statue de Notre-Dame-de-Fontenay, 
              Vierge de la fin du 13e siècle, est une très belle 
              pièce de sculpture qui a été remontée 
              dans le transept. On admire également le retable 
              provenant du maître-autel, avec plusieurs scènes figuratives, 
              de la même époque. Les pierres tombales 
              et les gisants du couple de Mello, dans le chœur, 
              datent du 14e siècle. On y voit aussi un pavage de carreaux 
              émaillés du 13e siècle, constitué d'un 
              remarquable dallage polychrome décoré d'étoiles, 
              rosaces, entrelacs et animaux.   
               
                |  
                    Mobilier de l'église 
                      : |   
                |  |  |  |  |   
                | Retable | Gisant | Pierre tombale | Vierge |      Cloître 
              et batiments abbatiaux  Le magnifique 
              cloître se trouve au sud de l’abbatiale. 
              C’est la partie centrale de l’abbaye qui servait de 
              lieu de circulation et de méditation pour les moines. Elle 
              communique avec les bâtiments monastiques qui l'entourent. 
              L’ensemble date du milieu du 12e siècle et se compose 
              de quatre galeries de huit travées, voûtées 
              en berceau brisé à pénétration sans 
              doubleaux, autour du jardin central. Chaque travée s’ouvre 
              sur le jardin par une arcade géminée avec des colonnettes 
              et des chapiteaux d’une grande simplicité représentant 
              des feuilles d’eau. Autrefois, un lavabo voûté 
              se trouvait dans ce cloître du côté sud. A l'intérieur, 
              chacune des quatre galeries se différencie par ses voûtes 
              et ses murs latéraux. L'intérieur de la galerie ouest 
              est décoré d'arcatures sur pilastres. Du côté 
              sud, on trouve des colonnettes avec chapiteaux supportant la voûte. 
              L'ensemble est d'une très grande unité et on ne cesse 
              d'admirer ses perspectives à travers les galeries du cloître, 
              qui est parmi les plus beaux que l’on connaisse.   
               
                |  
                    
                   |   
                |  |  |  |  |   
                |  
                    Côté nord  |  Côtés 
                    est et sud | Côté 
                    est  | Arcade |  
                |  |  |  |  |   
                | Galerie | Galerie | Galerie | Arcades |   
                |  |  |  |  |   
                | Arcade | Pilier | Chapiteaux | Chapiteaux |    Les bâtiments 
              des côtés ouest et sud du cloître ne sont pas 
              conservés dans leur état primitif. En revanche, le 
              Bâtiment des moines du côté 
              est, qui se compose de plusieurs salles et de deux étages, 
              est encore du milieu du 12e siècle. La Salle capitulaire 
              ou Salle du chapitre était un centre important de la vie 
              monastique et se trouve au rez-de-chaussée du bâtiment 
              des moines. Cette belle salle date de la deuxième moitié 
              du 12e siècle et se composait à l’origine d’un 
              carré de trois rangs de trois travées. Les trois travées 
              orientales n'existent plus, mais la salle reste très intéressante 
              avec ses voûtes d’ogives, ses deux piliers qui se composent 
              de huit faisceaux de colonnes, ses chapiteaux à feuilles 
              d’eau et ses arcades qui la font communiquer avec le cloître. 
              La salle capitulaire est voisine de la Sacristie 
              du côté nord et du Parloir du côté 
              sud, deux petites pièces voûtées d'ogives, qui 
              reprennent l'architecture de la salle capitulaire. A côté, 
              un passage également voûté d'ogives fait communiquer 
              le cloître et les jardins qui se trouvent derrière 
              l'église.   
               
                |  
                    Salle 
                      capitulaire :  |   
                |  |  |  |  |   
                | Salle 
                     | Piliers | Sacristie | Parloir |   
                |  |  |  |  |   
                | Arcades | Porte | Colonnes | Chapiteau |    Le 
              grand Scriptorium (ou Salle des Moines) est très 
              intéressant. Il se trouve au rez-de-chaussée dans 
              la partie sud du bâtiment des Moines. Il s'agit d'une grande 
              salle romane qui se compose de deux rangs à six travées 
              sous voûtes d’ogives dont les doubleaux en plein cintre 
              reposent sur cinq colonnes monolithes et sur les culots des murs 
              latéraux.L’étage du bâtiment des moines est entièrement 
              occupé par le grand Dortoir des Moines. 
              La grande salle, qui date du 12e siècle, fut remaniée 
              aux siècles suivants après la destruction de sa voûte 
              pendant la guerre de Cent ans. Les baies du côté ouest 
              sont romanes, celles du côté est sont modernes. La 
              grande charpente en chêne qui la couvre est impressionnante 
              et date du 15e siècle. La salle a été restaurée 
              dans les années 1960 par Pierre Aynard. A l'extérieur, 
              un petit clocheton surmonte le bâtiment.
   
               
                |  
                      |   
                |  |  |  |  |   
                | Extérieur | Pignon sud | Dortoir | Mur du dortoir |   
                |  |  |  |  |   
                | Scriptorium | Scriptorium | Scriptorium | Chauffoir |    Des bâtiments 
              du côté sud du cloître n'est conservé 
              que le petit Chauffoir, le seul endroit, avec la 
              cuisine, où la règle autorisait qu’on allume 
              du feu en hiver. Cette petite pièce voûtée d’ogives 
              et restaurée au début du 20e siècle conserve 
              deux cheminées du 12e siècle avec de petits lanternons 
              visibles du cloître. Le grand chauffoir, les cuisines et le 
              réfectoire des moines se trouvaient du même côté 
              du cloître mais n’existent plus. Dans le prolongement 
              du chauffoir du côté sud du cloître est construit 
              vers 1850 un grand bâtiment moderne dit Galerie de 
              Marc Seguin. Derrière 
              le chauffoir se trouve la Prison ou l'Enfermerie 
              qui remonte à l’époque de la Renaissance (16e 
              siècle). Sa tourelle date de cette époque, tandis 
              que le mur ouest et ses quatre baies sont un vestige du Réfectoire 
              disparu du 13e siècle.L’aile 
              ouest du cloître est aujourd’hui flanquée par 
              le Logis abbatial des années 1740 qui remplace 
              le cellier et le réfectoire des convers qui étaient 
              situés à cet endroit. C'est un bâtiment de style 
              classique construit par les abbés commendataires de l'époque.
   
               
                |  
                    Les bâtiments 
                      autour du cloître : |   
                |  |  |  |  |  |   
                | Ensemble ouest | Galerie de Seguin | Réfectoire | Prison | Logis abbatial |    Autour de ce 
              carré central on trouve plusieurs autres bâtiments 
              monastiques qui datent du 12e jusqu’au 18e siècle. 
              Le plus important est la Forge du côté 
              sud, une des plus vieilles usines métallurgiques d'Europe 
              datant de la fin du 12e siècle. C'est un grand et très 
              bel édifice monastique, bien que l’ensemble se soit 
              quelque peu dégradé au cours des siècles. La 
              forge se compose de deux étages dont le rez-de-chaussée 
              à deux rangs de neuf travées sous voûtes d’ogives 
              est divisé en quatre salles. L'architecture est typiquement 
              cistercienne par ses voûtes d'ogives, les piliers centraux 
              et les culots des murs latéraux. On y voit la salle des Fourneaux 
              avec sa grande cheminée. Ici se trouvaient le Moulin et les 
              Ateliers de travail. Le bassin du côté ouest de la 
              forge a été aménagé au 19e siècle. 
              L’Infirmerie est située non loin, 
              à l’est, et a été construite aux 17e 
              et 18e siècles sur des fondations romanes.   
               
                |  
                      |   
                |  |  |  |  |   
                | Extérieur | Intérieur | Piliers |  Salle des 
                    Fourneaux |   
                |  |  |  |  |   
                | Chéminée | Pilier | Moulin | Infirmerie |    Du 
              côté ouest de l’abbaye, devant la façade 
              de l’abbatiale, on trouve le Pigeonnier ou 
              Colombier et les Communs qui datent du 14e siècle 
              et qui furent remaniés plus tard. Un peu plus loin se dresse 
              le Chenil des ducs. Egalement du 13e siècle, 
              la Chapelle des Etrangers et la Boulangerie, 
              abritent le musée lapidaire et la salle d’accueil. 
              La boulangerie des moines, très remaniée, conserve 
              un four avec cheminée cylindrique. A l'entrée de l'abbaye, 
              au côté ouest, se trouve encore la Porterie 
              ou conciergerie ; elle est du 15e siècle, mais ses origines 
              remontent au 12e siècle. Enfin, l’Hostellerie 
              du côté sud-ouest du carré abbatial, transformée 
              en ferme au 19e siècle, et le Logement qui 
              se trouve en face. Il existe également des vestiges, de la 
              fin du 14e siècle, de l'enceinte qui protégeait l'abbaye.   
               
                |  
                    Autres bâtiments 
                      abbatiaux : |   
                |  |  |  |  |   
                | Pigeonnier | Chapelle des 
                    étrangers  | Boulangerie | Cheminée |   
                |  |  |  |  |   
                | Porterie | Porterie | Logement | Jardins |    Le petit Musée 
              Lapidaire de l'abbaye conserve plusieurs statues et sculptures 
              intéressantes. On y trouve une maquette, une bulle du pape 
              Alexandre III de 1168, une clé de voûte du 13e siècle, 
              des carreaux émaillés du 13e siècle et plusieurs 
              sculptures romanes. Citons un bas-relief d'un ange de style autunois, 
              un bas-relief provenant de l'abbaye de Picheny (02), un modillon, 
              un visage de moulure et plusieurs chapiteaux du 12e siècle 
              de provenances différentes. On pourra finir la visite de 
              l'abbaye par les Jardins des simples qui se trouvent 
              du côté est de l'abbaye, bien que ceux-ci ne ressemblent 
              en rien aux jardins cisterciens primitifs.    
               
                |  
                    Sculptures du 
                      musée lapidaire : |   
                |  |  |  |  |   
                | Bas-relief 
                    d'un ange | Bas-relief 
                    de Picheny  | Chapiteau d'angle | Chapiteau du 
                    Sud-Ouest |   
                |  |  |  |  |   
                | Modillon 
                     |  Visage de 
                    moulure | Clé 
                    de voûte | Bulle du pape |        Visite
 L'abbaye se 
              visite toute l'année (l'entrée est payante). Des 
              visites guidées sont organisées en saison (début 
              avril à mi-novembre). Pour en savoir 
              plus sur l'abbaye de Fontenay, vous pouvez visiter sur Internet 
              : Site de l'abbaye 
              : http://www.abbayedefontenay.com/.Page romanes.com : http://www.romanes.com/Fontenay/.
 Page wikipedia : https://fr.wikipedia.org/wiki/Abbaye_de_Fontenay.
 Page lieux sacrés : http://lieuxsacres.canalblog.com/archives/marmagne__abbaye_de_fontenay__21_cote_d_or_/index.html.
 Page architecture religieuse : http://architecture.relig.free.fr/fontenay.htm.
 Page sacred destinations : http://www.sacred-destinations.com/france/fontenay-abbey.
 Page france médiévale : http://lafrancemedievale.blogspot.nl/2015/12/montbard-21-abbaye-de-fontenay-le.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed:+LaFranceMedievale+(LA+FRANCE+MEDIEVALE.
 Page Christal de Saint Marc : http://www.christaldesaintmarc.com/l-abbaye-de-fontenay-c103432.
 Page italica press : http://www.italicapress.com/index194.html.
 Page taranis prod (visite en 3D) : http://www.taranisprod.net/real/fontenay.htm.
 Page Unesco : http://whc.unesco.org/en/list/165.
 Page petit patrimoine : http://www.petit-patrimoine.com/fiche-petit-patrimoine.php?id_pp=21389_1.
 Vous pouvez 
              également consulter les références suivantes 
              : - André 
              L., L’Abbaye de Fontenay.  - Auberger J.-B. et Sauvageot C., Mystère de Fontenay: 
              La spiritualité de Saint Bernard en majesté, 
              Zodiaque, 2001.
 - Aynard F. et Bruant N., Fontenay, l'abbaye et son 
              vallon, Huitième jour.
 - Bazin J.-F. et Pascal M.-C., L'Abbaye de Fontenay, Ouest-France, 
              1987.
 - Bégule L., L'abbaye de Fontenay et l'architecture cistercienne, 
              1912.
 - Bégule L., L'abbaye de Fontenay, 1950.
 - Bourgeois P., Abbaye Notre-Dame de Fontenay, Monument du Patrimoine 
              Mondial, Architecture et histoire. 2 tomes, 2000.
 - Boutevin P., Fontenay Abbey, Gaud, 1994.
 - Corbolin J.B., Monographie de l’Abbaye de Fontenay, 
              seconde fille de l’abbaye de Clairvaux, 1882.
 - Hatot T., Aynard F. et Piaulet A.-M., Abbaye de Fontenay, 
              L'Instant durable, 2000.
 - Perrenet P., L’Abbaye de Fontenay en Bourgogne, 
              la Revue de Bourgogne, 1922.
 - Sapin C., Arnaud C. et Berry W., Bourgogne Romane, Dijon, 
              2006.
 - Seurot P. et Chocat L., Fontenay, abbaye médiévale, 
              La Taillanderie, 2001.
   
    
      [haut 
              de page] [accueil] [contact] 
               |